Ordo Sinistra Vivendi - Philosophie & Rituels [2] | Rat Holes

Ordo Sinistra Vivendi – Philosophie & Rituels [4]

Seconde partie – Rites et cérémonies

*

La Sorcellerie noire

Invocation d’Hécate

Originaire d’Asie mineure, Hécate était la figure tutélaire de la Sorcellerie noire dans la Grèce antique, la grande Déesse-mère dans ses aspects les plus ténébreux.

On trouvait notamment son image aux carrefours qui revêtent une signification sacrée à ses yeux. Elle y était représentée avec trois têtes.

Les animaux qui lui étaient associés étaient le molosse et la chouette. Déesse à tête de serpent, elle tenait dans ses mains un fléau et une torche.

Hécate est une déesse lunaire dont la nature est triple, liée à Luna donc (le ciel), mais aussi à Diane (la Terre) et à Perséphone (les enfers).

Les libations en son honneur sont de miel et de sang – le miel était couramment utilisé pour les libations en général dans de nombreuses cultures antiques et c’est pour cela que, à l’occasion de ses synodes de 85 et 692, l’Église prononça l’interdiction, d’une part, de la consécration du vin avec du miel, puis, d’autre part, des offrandes de lait et de miel sur les autels.

Le nom « Hécate » signifie originellement « celle qui se tient à distance ». Il est aussi possible de mentionner parmi ses autres titres Brimo (la puissante [1]), Mormo (une goule) et Gorgo (la Gorgone).

Les instructions à suivre pour l’invoquer ont été décrites dans les Argonautiques d’Apollonios de Rhodes : elles impliquaient de se baigner dans de l’eau vive, de procéder à minuit, vêtu d’habits sombres, de prononcer des prières et d’offrir du sang et du miel à la déesse.

Le rituel ci-dessous est inspiré de la Philosophumena de St Hippolyte [2] et de l’Âne d’or d’Apulée.

Préparation

– Une femme participant au rituel (la prêtresse) doit incarner Hécate ; elle porte au front un bandeau sur lequel un croissant de Lune est dessiné ;

– les différents participants sont vêtus de robes ou de vêtements noir(e) s ;

– il convient de se munir d’un calice rempli de miel et de vin ;

– une dague, une pointe, une torche, un fouet/fléau et un brasier sont disposés au centre de l’endroit où le rituel se tient ;

– le rite est nocturne et il doit, de préférence, se dérouler à minuit ;

– il peut servir à l’accomplissement magick de désirs individuels ou collectifs ;

– un autel drapé de noir est dressé ; des bougies elles aussi noires sont disposées dessus.

Déroulement

L’assistant :  – allume les bougies posées sur l’autel ;

Le prêtre :     – se pique le « doigt de Mercure » (l’auriculaire) de la main gauche avec la pointe et fait couler un peu de son sang sur la lame de la dague ;

                        – après s’être saisi de la dague, se tourne successivement en direction des quatre points cardinaux, évoquant les vents de la mythologie grecque qui gouvernent les éléments :

                                               # Sud : « Noctus ! » ;

                                               # Est : « Eurus ! » ;

                                               # Nord : « Boreas ! » ;

                                               # Ouest : « Zephyrus ! » ;

                        – « Viens Bombo  [3], tout à la fois infernale, terrestre et divine – Déesse des larges chemins et des croisements – Allant et venant dans la nuit, une torche à la main, ennemie du jour, amie et amante des ténèbres – Te réjouissant lorsque les chiennes hurlent et qu’un sang chaud est répandu – Marchant parmi les fantômes et au milieu des tombes – Toi, dont la soif ne s’étanche que de sang, frappant les mortels de terreur – Gorgo, Mormo, Lune aux mille formes, accueilles favorablement le sacrifice que nous t’offrons. » ;

                        – « Brimo, Toi qui te tiens à part, flamme des flammes, Tu es au plus profond de mon cœur incandescent. » ;

La prêtresse :           – allume sa torche avec la bougie se situant sur le côté gauche de l’autel, s’avance et enflamme le brasier central ;

– « Regarde, je suis là ! À la suite de tes prières, je suis venue te porter assistance. Je suis la Mère de toutes les choses qui existent dans la nature, la Maîtresse des éléments, la Reine de tout ce qui vit dans l’Hadès, Luna céleste, Diane terrestre et Perséphone des mondes souterrains. Je suis la Déesse de la sorcellerie la plus noire. La course des planètes, les vents marins, les silences de l’Hadès – tous sont soumis à ma volonté. Mon nom et ma divine personne sont adorés partout dans le monde, de différentes façons, selon des coutumes et des appellations variables. Pour les Égyptiens, je suis Isis, les Hindous m’appellent Kālī et les Sémites me nomment Lilith, mais pour les Grecs, mon nom véritable est Hécate. » ;

– « Regarde, je suis là ! Pour favoriser tes entreprises et t’aider. » ;

L’assistant :  – tend le calice au prêtre ;

Le prêtre :     – à l’aide de la dague, il éclabousse de vin la flamme du brasier puis offre le calice à la prêtresse ;

                        – le prêtre et la prêtresse boivent au calice, puis l’assistant le fait passer parmi les célébrants ;

La prêtresse :           – « Maintenant, endurez l’épreuve du fouet. Ressortez-en plus forts et en ayant prouvé votre valeur par la force de votre volonté. » ;

                        – « La Mort est la Grande transformation. » ;

                        – tous s’agenouillent alors, les yeux fermés, devant la prêtresse qui les flagelle légèrement, en commençant par le prêtre ;

                        – au moment où il est fouetté, chaque participant visualise son désir ou celui du groupe ;

La prêtresse :           – « Je dois descendre dans l’Hadès. » ;

                        – elle ferme les yeux et se représente une Lune d’argent décroissante au-dessus d’une large porte qu’elle franchit. Elle descend dans les ténèbres et rencontre finalement Hécate, assise sur un trône de pierre, flanquée d’un molosse et d’une chouette, et tenant son fléau. Derrière Hécate, une grande Lune d’argent croissante – elle symbolise le renouveau après la mort. La prêtresse se prosterne devant Hécate qui la fouette, puis le molosse et la chouette la guident au bord de l’Abîme, devant la Lune montante qui l’inonde de sa lumière. Enfin, elle revient à elle, ouvre les yeux et contemple la lune décroissante surplombant l’endroit où le rituel se tient.

                        – la prêtresse frappe trois fois dans ses mains ;

                        – « Ainsi soit-il ! » ;

Tous :             – se piquent le doigt de Mercure et versent quelques gouttes de leur sang dans le feu ;

Le prêtre :     – frappe trois fois dans ses mains et s’exclame « C’en est terminé ! ».

*

Rite d’Ishtar – Célébration de la Déesse de l’amour et de la guerre

L’Ishtar sémite, connue par les Phéniciens sous le nom d’Astarte et appelée Ashtaroth par les Hébreux, provient de l’Inanna sumérienne, Reine des cieux et de la Terre dont le culte était très répandu il y a plus de cinq mille ans.

Elle symbolise la toute-puissance de la féminité et façonne le destin des hommes. Déesse de la sexualité et du combat, du renouveau et de la fertilité, elle peut aussi bien se montrer séductrice que faire couler des fleuves de sang. Il s’agit d’un archétype particulièrement puissant.

Elle fut un « concurrent » sérieux pour Jéhovah, car elle était très populaire parmi les Hébreux dont nombreux étaient ceux qui préféraient cette déesse à leur propre divinité tribale pleine de jalousie. Pour cette raison, les Juifs et les Chrétiens en firent une figure masculine sous la forme du démon Ashtaroth.

Ishtar est associée à la Lune ascendante qui, dans les représentations, entoure souvent sa tête, ainsi qu’à la planète Vénus. Parmi les symboles lui correspondant, on trouve l’étoile à huit branches entourée d’un cercle de même que le tronc d’arbre, dépourvu de branches, posé sur une base de pierre (Asherah).

Les mariages des souverains et des prêtresses se déroulaient sous ses auspices, car elle est la source du prestige et du pouvoir royaux.

Dans ses temples, la prostitution sacrée était pratiquée.

Le rite qui suit se fonde largement sur le symbolisme antique et d’authentiques hymnes.

Préparatifs

– Une arme magique (épée, dague ou fléau) ;

– un calice rempli de vin ;

– un bol de lait ;

– un bol d’eau ;

– une pièce d’argent ;

– de l’encens et des bougies noires ;

– une cloche ;

– une Asherah (une branche droite fixée sur un socle en pierre et surmontée d’une étoile à huit branches) qui sera le centre de la cérémonie ;

– une robe ou un vêtement destiné à la prêtresse et un bandeau sur lequel est dessiné un croissant de lune ;

– la prêtresse est allongée nue sur l’autel ou à même le sol.

Déroulement

L’assistant :  – allume l’encens et les bougies ;

                        – fait sonner la cloche quinze fois (trois séries de cinq tintements) ;

Le prêtre :     – avec l’arme magique, trace en l’air l’étoile à huit branches entourée de son cercle ;

                        – verse du lait sur l’Asherah et pose la pièce d’argent sur son socle ;

                       – « Elle n’est vêtue que de plaisir et d’amour.

                       Elle est habillée de vitalité, de charme et de volupté.

                       Ishtar n’est vêtue que de plaisir et d’amour.

                       Elle est habillée de vitalité, de charme et de volupté.

*

                       Ses lèvres sont la douceur et la vie réside dans sa bouche.

                       À sa vue, la joie se fait plénitude.

                       Elle est glorieuse ; des voiles reposent sur sa tête.

                       Son visage est superbe et ses yeux étincellent.

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                       La Déesse – à ses côtés, un conseil se tient.

                       De chacun, elle tient le sort entre ses mains.

                       D’un regard, elle engendre la joie, le pouvoir et la magnificence.

                       Divinité protectrice et esprit gardien.

                       Elle vit dans la compassion et l’amitié, leur porte une extrême attention.

                       Mieux, elle est l’essence de ce qui est agréable.

                       Que vous soyez une esclave, une femme libre ou une mère, elle vous protège.

                       Les femmes l’invoquent. Un nom, Son nom.

*

                       Qui peut égaler sa grandeur ?

                       Ses décrets sont emplis de force, d’exaltation et de splendeur.

                       Qui peut égaler la grandeur d’Ishtar ?

                       Ses décrets sont emplis de force, d’exaltation et de splendeur.

*

                       Elle est prisée parmi les dieux, sa stature est immense.

                       Sa parole est respectée, elle s’impose à eux.

                       Ishtar, au milieu des dieux, dans sa stature immense.

                       Sa parole est écoutée, elle s’impose à eux. »

                        – il verse de l’eau sur la prêtresse ;

L’assistant :  – aide la prêtresse à se relever ;

                        – la recouvre de sa tenue et place le bandeau sur son front ;

La prêtresse :           – « Je rends l’homme féminin et la femme, virile.

                       Je suis celle qui embellit l’homme pour la femme et la femme pour l’homme.

Je suis remontée de l’Hadès et j’ai vaincu la mort, pour affirmer la Vie en ce monde. » ;

Le prêtre :     – « Salut à toi, Ishtar ! » ;

La prêtresse :           – « Vous, mes enfants, venez vous emplir d’amour sous les étoiles.

Je suis au-dessus de vous et en vous. Mon extase est votre. Ma joie est d’assister à votre joie. » ;

Le prêtre :     – trace une étoile à huit branches au-dessus du calice ;

L’assistant :  – prend le calice et le tend à tous les participants ;

Le prêtre :     – « Salut à toi, Ishtar, Reine des cieux et de la Terre ! » ;

Tous :             – « Salut à toi, Ishtar, Reine des cieux et de la Terre ! » ;

L’assistant :  – éteint les bougies.

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Rite de Kālī

Kālī, « la noire », la Grande mère archétypale de l’Hindouisme, remonte aux civilisations pré-aryennes de la vallée de l’Indus (2500 – 1000 av. JC). Elle est une manifestation de la Shakti, l’énergie cosmique représentée par Shiva.

Kālī est à la fois la personnification de ce qu’il y a de sombre dans la nature et « l’ombre » femelle ténébreuse de l’homme (l’anima jungienne).

Bien qu’épouse de Shiva dans le panthéon hindou, ses adorateurs se retrouvent également en-dehors de l’Hindouisme au sens orthodoxe du terme (cf. les Thugs ou les adeptes du Tantrisme dont la pratique se perpétue). Son culte est particulièrement développé au Bengale. Elle punit comme elle protège ou aide sous son aspect de Kālī Ma, Mère Kālī.

Traditionnellement, Kālī est représentée avec une peau sombre, des crocs et une langue protubérante, arborant un collier fait de crânes humains, une jupe de mains et tenant, dans l’une de ses quatre mains, une tête tranchée et, dans une autre, une épée ensanglantée.

Les Thugs la voient tenant une « serpe sacrée » dont la lame figure l’un de ses crocs.

Pour les Satanistes occidentaux, les sectes les plus intéressantes sont celles qui pratiquent le Tantrisme et sont centrées sur l’interaction Shiva/Shakti.

Le Tantrisme est parfois considéré comme la religion la plus ancienne de l’Inde, ses origines remontant aux civilisations de la vallée de l’Indus.

Des parallèles significatifs peuvent être établis entre le Satanisme occidental et le Tantrisme. Le but de ce dernier est de libérer ses pratiquants des liens de la morale conventionnelle. À l’instar du Satanisme, il est élitiste et qualifie ceux qui lui sont extérieurs de pashu (bétail). La Magick joue un rôle important dans sa pratique – les personnalités dogmatiques diraient qu’il s’agit de Magick « noire ». Des rites sexuels impliquent la copulation avec des esprits élémentaux et des démones. Les textes tantriques affirment d’ailleurs que « des actes provoquant la dégradation morale de l’homme ordinaire peuvent mener au salut de l’homme sage », que l’on « atteint la perfection en réalisant tous ses désirs » et que « des gestes qui conduiraient n’importe qui en enfer sont les mêmes que ceux par lesquels les yogis accèdent à la béatitude ». De tels enseignements rappellent indéniablement la doctrine charnelle du Satanisme et son rejet de l’autolimitation. Et logiquement, les Bouddhistes et les Hindous orthodoxes assimilent cela à des « messes noires ». Tout comme le Satanisme, le Tantrisme fut réprimé par les bigots – monastères et bibliothèques incendiés, moines massacrés – et s’enfonça dans la clandestinité.

Ainsi que les enseignements tantriques l’affirment, « sans Shakti, Shiva n’est qu’un cadavre » : la conception sataniste de Satan comme force motrice du cosmos reflète la relation entre Shiva et la Shakti.

En tant qu’elle est l’élément dynamique de la Shakti, Kālī, la Déesse sombre, est un archétype qu’il est tout à fait judicieux d’invoquer pour un Sataniste.

Le rituel qui suit est une adaptation et une synthèse des rites pratiqués par les Thugs et les Tantrikas.

Préparation

– Une statuette ou une image de Kālī que l’on placera au centre de l’autel, flanquée de bougies noires ;

– devant elle, un bol vide, une pièce d’argent, une faucille/serpe, un calice et une cloche ;

– un bol d’eau et un bol de sucre ;

– un couteau ou une épée (de conception indienne si possible) ;

– de la musique indienne traditionnelle ou de l’encens peuvent positivement contribuer à l’atmosphère générale du rituel.

Déroulement

L’assistant :  – fait tinter la cloche sept fois et allume les bougies présentes sur l’autel ;

Le prêtre :     – trace en l’air, à l’aide du couteau, le symbole de l’union des organes génitaux du mâle (Lingam) et de la femelle (Yoni), qui renvoie à la dualité Shiva/Shakti des Hindous ;

Tous :             – rendent hommage à Kālī ;

Le prêtre :     – « Toi, la Déesse noire,

                        Qui anime le cosmos,

                        Dans le jeu mystique de Shiva et de la Shakti.

                        Grande Déesse-mère,

                        Qui protège et détruit,

                        Et dans les mains de laquelle repose le destin de tous.

                        Kālī, louée et crainte,

                        Déesse des Ténèbres qui vit dans la flamme de la Terre.

                        En nous, il y a une flamme pour Toi. » ;

L’assistant :  – fait retentir la cloche sept fois ;

Le prêtre :     – prend la serpe, lame tournée vers l’extérieur, et la passe sept fois au-dessus des bougies de l’autel ;

Tous :             – viennent un à un se saisir de la serpe à pleines mains ;

Le prêtre :     – (à chacun) « Jures-tu sur ta vie de garder secret les enseignements de cet Ordre et d’honorer Kālī ? » ;

Chacun :        – « Je le jure. » ;

Le prêtre :     – « Si tu devais briser ce serment, tu seras étranglé jusqu’à la mort. » (il mime) ;

Tous :             – retournent à leur emplacement initial ;

Le prêtre :     – prend le sucre et le verse dans un plat disposé sur l’autel ;

                        – plonge la pointe du couteau dans le bol d’eau ;

                        – « Je consacre cette eau bénie à Kālī. » ;

                        – éclabousse, à l’aide du couteau, le sucre et la serpe ;

                        – « Nous t’implorons, Kālī, d’exaucer nos souhaits. » ;

Tous :             – rendent hommage à Kālī ;

Le prêtre :     – « Kālī est la Vie, Kālī est la Mort, Kālī est Tout. » ;

Tous :             – « Kālī est la Vie, Kālī est la Mort, Kālī est Tout. » ;

Le prêtre :     – fait passer le sucre parmi les participants en déclarant à chacun, lorsqu’il le lui présente, « La douceur de Kālī » ;

Tous :             – répètent « La douceur de Kālī » et consomment un peu de sucre ;

Le prêtre :     – élève le calice devant la figurine/l’image de Kālī ;

                        – « Um Mum Kum Jum Rum : Que ton pouvoir descende sur ce vin et le transforme en nourriture divine. » ;

L’assistant :  – tend le calice à chacun des participants ;

Le prêtre :     – « Nous ne faisons plus qu’un avec la Déesse sombre dans l’union mystique de Shiva et de la Shakti.

                        Retenez de ce grand enseignement de notre Ordre : il n’est pas d’autre puissance que l’Énergie, il n’y a pas de vrai et de faux.

                        Vous êtes de nature divine. De cela, gardez le secret. » ;

– mime le geste de faire silence (index à la verticale devant la bouche) en direction des participants ;

L’assistant :  – fait sonner la cloche sept fois.

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Notes :

[1] [NdT] « La terrifiante » serait plus correct.

[2] [NdT] L’auteur confond St Hippolyte et le pseudo-Hippolyte de Rome, auteur de la Philosophumena, dont on ne sait que très peu de choses si ce n’est qu’il s’agirait d’un romain schismatique du IIIème siècle.

[3] [NdT] Nom associé à Hécate dont la signification est inconnue. Il est mentionné par le pseudo-Hippolyte de Rome.

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