Hystéron Protéron, 1ere partie | Rat Holes

Hystéron Protéron, dernière partie

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L’hystéron-protéron est une figure rhétorique consistant à présenter, dans une phrase, les termes ou les actions dans un ordre contraire à la chronologie ou à la logique. 

Nous rappelons que ce texte est donné à titre informatif, afin de présenter une partie des doctrines et pratiques de l’ONA et que les administrateurs de ce site n’encouragent, d’aucune façon, le sacrifice humain ni, plus généralement, la violence. Nous invitons les lecteurs à faire preuve de recul et de sens critique.

Cette traduction a été originellement publiée, via l’Astral Bone Gnawers (ABG) Lodge sur le site ONA InternationalUn grand merci à l’auteur de la traduction qui nous a offert de la publier sur ce site.

Mel

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La quintessence du Satanisme (1989eh)

Le Satanisme ne consiste pas seulement à assister ou même à présider à des cérémonies ou des rituels relevant de la « Magick noire » pas plus qu’il ne signifie ou n’implique l’appartenance à un groupe se revendiquant comme satanique. Le Satanisme n’est pas non plus simplement le fait d’apprécier les délices matériels. Dans sa quintessence, le Satanisme est plutôt une attitude et une façon de vivre.

Cette attitude exprime la force de caractère : croire en soi et sa Destinée. Cela relève, pour une part, de la fierté et, pour une autre, de la provocation : l’individualité et le dégoût des limites. Cependant, son aspect le plus important est la connaissance et la maîtrise de soi qui proviennent d’avoir atteint, et souvent dépassé, ses propres limites physiques, mentales et morales. La façon de vivre crée cette force de caractère, la maintient et permet même d’aller au-delà. Les Satanistes utilisent la vie pour exprimer une ou plusieurs nouvelles façons d’être, pour réaliser leur potentiel ainsi que pour expérimenter et dépasser les limites de leur existence, amenant ainsi l’évolution à un stade supérieur.

Cette façon de vivre est essentiellement pratique : il est question de suivre la voie de l’Adeptat et de continuer au-delà car cela implique des expériences, des épreuves, des défis, l’apprentissage de nouveaux savoir-faire et la révélation du génie latent.

En conséquence, l’Initiation satanique signifie beaucoup plus qu’un rite d’auto-initiation ou qu’une cérémonie rituelle d’Initiation menée par un groupe ou un Ordre. Elle signifie le désir de suivre la voie satanique, et le commencement véritable de ce cheminement via la réalisation d’actions, de tâches, de rituels et le passage d’épreuves par le Sataniste novice. Le reste ne signifie que jouer au Satanisme, c’est la marque d’un « Initié » à qui il manque le caractère satanique ou la capacité de l’avoir.

Dans le Satanisme traditionnel, tel que l’illustre l’ONA, cela veut dire plusieurs choses :

a) le novice doit entreprendre plusieurs défis physiques d’endurance et les réussir. Ils doivent être difficiles et nécessiter de l’entraînement. Ensuite, le novice…

b) …interroge sa Destinée et forme son caractère en relevant des défis dans le monde réel, des défis conformes à la pratique satanique et remettant en cause les limitations de la masse. [En la matière, les conseils d’un Sataniste expérimenté peuvent être utiles.]

c) Le novice commence ses travaux magicks hermétiques avec l’intention (i) de gagner en expérience et en maîtrise dans cette magick ; (ii) de retirer de ces débuts une certaine connaissance de soi (cf. Naos).

d) Le novice étudie la tradition (comme cela a été expliqué, à travers le Chant ésotérique, le jeu de l’Etoile, le Système septénaire) et gagne ainsi en connaissance et en compréhension ésotériques.

e) A l’issue, il entreprend l’épreuve du Rituel de passage au grade d’Adepte externe et accomplit ainsi les tâches, épreuves et actions de l’étape suivante – à titre d’exemple, il peut organiser et recruter des individus pour son propre Temple satanique en vue d’accomplir des cérémonies magicks et d’en retirer de l’expérience autant que de jouir des plaisirs et de l’expérience de la manipulation. [Voir les manuscrits de l’Ordre relatifs au fait de suivre la Voie septuple sinistre comme, par exemple, Le livre noir.]

A la suite de tout cela – ce qui prend déjà un moment, probablement un an ou presque – il y a encore plus d’expériences qui attendent d’être vécues, plus de délices, de joies et de difficultés, plus de défis à relever, une connaissance de soi plus grande à atteindre.

Il ne sera jamais assez souligné ou répété que le Satanisme – le Satanisme authentique du moins – implique de telles réalisations pratiques, associées au désir d’expérimenter, de transcender ce que l’on est à un moment donné : d’accomplir la tâche initialement fixée à soi-même lors de l’Initiation, à savoir atteindre l’Adeptat, et plus, en suivant la voie du Satanisme. Cela signifie la progression, l’expérimentation, l’effort, l’accomplissement et l’apprentissage par l’expérience directe. Tout le reste n’est pas le Satanisme, et aucune parole subtile, aucune mystification pseudo-intellectuelle ne peut masquer cette réalité.

De fait, en raison de ce qu’est la nature humaine, peu nombreux seront ceux qui auront le désir de devenir de véritables Satanistes – d’accomplir les tâches, épreuves et défis. La plupart de ceux qui affirment s’intéresser à la question, de même qu’un grand nombre de ceux qui sont allés jusqu’à l’Initiation réelle, qu’elle ait été cérémonielle ou hermétique, s’en détourneront rapidement lorsqu’ils comprendront que l’on attend d’eux qu’ils œuvrent à leur propre développement. Pour la majorité, ils trouveront bien trop facilement des excuses justifiant leur revirement : ils auront été séduits, car telle est la faiblesse de leur personnalité, par des individus leur promettant des « solutions faciles », un cheminement « magique » vers l’Adeptat ; par des organisations promettant d’apaiser les douleurs, souffrances et désirs que l’effort de vivre « sur le fil » entraîne et qui apportent un sentiment de sécurité à leurs membres, les maintiennent asservis à leurs propres illusions. Ou alors, ils auront juste été bien trop fainéants, bien trop attachés à leur existence confortable pour en changer.

Quelles qu’en soient les raisons, ils auront prouvé qu’ils ne convenaient pas, qu’ils n’étaient pas adaptés. Le Satanisme ne peut en aucune façon être rendu facile car sa quintessence réside dans ses difficultés et dangers, dans le fait incontournable qu’un effort sur soi de plusieurs années soit requis.

Pour les dilettantes, pour ceux qui adorent jouer des rôles fantaisistes, pour ceux qui sont trop complaisants avec eux-mêmes ou qui manquent de maîtrise, il existe une grande variété d’organisations et de « maîtres » prétendument sataniques qui recherchent la flatterie, qui jouent un rôle et seront ravis d’accueillir un nouvel élève ou un nouvel étudiant.

Le choix est aussi simple et brutal que cela.

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La publication des traditions ésotériques de la Voie de main gauche (1991eh)

Pendant longtemps la tradition ésotérique authentique s’est transmise d’individu à individu, du Maître/de la Maîtresse au novice. Il y avait de nombreuses raison de faire ainsi, la plupart d’entre elles étant pratiques : la tradition était ésotérique, sujette à de mauvaises interprétations et nombreux étaient les principes et rituels qu’elle comprenait à être considérés comme « hérétiques », antisociaux et/ou illégaux. En outre, les méthodes utilisées pour la formation des novices faisaient souvent de ces derniers des hors-la-loi et les dressaient contre la société. Par ailleurs, durant une longue période, l’enseignement, et les enseignements, de la tradition étaient hérétiques d’un point de vue juridique : ils constituaient une attaque criminelle envers l’Eglise et l’Etat. Le secret était donc essentiel et nécessaire.

Cet état des choses a perduré jusqu’à récemment encore. Avec l’intérêt croissant pour « l’Occulte » en général, la Voie de la main gauche devint quelque peu moins secrète et certains aspects de la tradition furent discrètement mis en circulation. Ce qui a été pris, à tort, pour des traditions « ésotériques » et distribué/publié librement compte tenu de la nouvelle ouverture d’esprit à l’égard de l’occulte et de l’abrogation des lois sanctionnant le blasphème n’était que : (a) les grimoires inutiles et la tradition kabbalistiques, (b) la mésinterprétation de la pensée de Crowley, ou (c) un bricolage spectaculaire/nécrophile/artificiel composé d’éléments relevant du (a) et du (b), complétés de mythes archaïques et d’un égocentrisme illuminé. La tradition véritable – avec ses ténèbres et sa dangerosité – est demeurée, elle, cachée.

Dans la catégorie (c) on trouve l’Eglise de Satan qui a fait du Satanisme une sorte de jeu de rôles fantaisiste, ou un ensemble de jeux rehaussés d’un peu de sorcellerie pour impressionner. Son dernier schisme en date, qui a donné naissance au Temple de Set (né, non dans une explosion, mais plutôt dans un gémissement plaintif) n’a pas non plus déçu, étant donné la structure et l’orientation de cette « Eglise », et le fait que son meneur fonda son Temple et son autorité sur un « Mandat infernal », posant le Satanisme comme une religion, largement incomprise.

Parallèlement les anciennes traditions se sont poursuivies, en Europe et ailleurs, à leur façon traditionnelle – secrètement, n’acceptant que très peu de novices, et seulement après des tests et des épreuves difficiles. Les traditions, les écrits, les rituels, les méthodes, les épreuves et les techniques restèrent inconnus du plus grand nombre. Ce n’est qu’après de longues délibérations et consultations que l’individu représentant les groupes traditionnels décida progressivement de diffuser la tradition ésotérique dont ils étaient les tenants, de façon sélective, afin de révéler une fois pour toutes ce que la Voie de la main gauche et le Satanisme étaient réellement. L’impulsion véritable de cette décision trouvait sa source dans la stratégie éonique : le fait de rendre la tradition disponible allait permettre d’augmenter le nombre d’Adeptes authentiques et ainsi hâter la manifestation des forces les plus sombres sur Terre, accomplissant par là-même la dialectique sinistre de l’histoire. Cet accroissement du nombre d’Adeptes, cependant, serait graduel, il prendrait des siècles.

Grâce à cette dissémination de l’information, l’objet, l’intention et les méthodes du Satanisme et de la Voie de la main gauche ne devaient plus pouvoir être mésinterprétés, et les poseurs et charlatans se définissant comme « Satanistes » seraient démasqués – au moins par ceux suffisamment sagaces pour le faire. Les secrets devenant disponibles pour ceux qui les cherchaient, l’œuvre ésotérique véritable pourrait se poursuivre comme elle l’a toujours fait, dans le secret – la formation, à travers l’expérience directe, de ce petit nombre de personnes assez fortes et douées pour entreprendre le voyage difficile et dangereux le long de la Voie de la main gauche.

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L’ONA – son organisation

L’ONA est organisé en cellules principalement pour deux raisons : (1) la sécurité et (2) l’efficacité.

Cette structure implique que chaque nouvel Initié/nouveau membre n’a qu’un – deux tout au plus – contact dans l’Ordre qui centralise pour lui l’information/les enseignements etc. et prodigue des conseils/instructions. Lorsque ce nouveau membre atteint l’étape de l’Adeptat externe, il fonde généralement son propre Temple, à des fins de magick cérémonielle d’une part et, d’autre part, de recrutement et d’instruction de ses propres membres, dont le seul contact avec l’Ordre est donc l’Adepte externe. Chaque Temple ainsi formé existe indépendamment des autres. De ce fait, si son/ses membre(s) est/sont « compromis », on ne pourra remonter très haut dans la chaîne, permettant aux autres membres d’autres Temples de demeurer cachés et de poursuivre leur travail, personnel (suivre la voie de l’Adeptat) et éonique (contribuer à la dialectique sinistre).

De plus, ce type de structure est gage d’efficacité car : il permet à chaque membre de progresser à son rythme ; il renferme un principe fondamental du Satanisme authentique [l’individualité et la liberté par opposition à la soumission à l’autorité] et autorise la réalisation d’expériences pratiques qui forment le caractère [par exemple, pour commencer, le fait d’organiser et de diriger un Temple].

L’Ordre est foncièrement secret et entend le rester pour ce qui est de la plupart de ses membres et de ses activités. Toutefois ses enseignements et traditions sont, et continueront à être, progressivement rendus plus « accessibles », c’est-à-dire disponibles, afin de permettre à ceux que cela intéresserait de suivre, au moins partiellement, la voie du Satanisme authentique car, de cette façon et bien que marginalement, ils participeraient de la dialectique sinistre, accroissant la présence des forces ténébreuses sur la Terre. Certains d’entre eux pourraient progresser dans l’Ordre.

Cette « œuvre secrète » est nécessaire car le Satanisme ne peut être que sélectif : constituant une voie difficile et dangereuse, il est élitiste et une part de son efficacité réside dans la nature clandestine, « souterraine » de son travail [par exemple, un travail essentiel est accompli par des personnes se trouvant dans des positions « respectables » qui seraient compromises si leurs croyances/pratiques sataniques étaient connues, si l’on découvrait qu’elles étaient des Satanistes]. Ce secret ne sera pas levé dans un futur proche [pour les vingt à trente prochaines années environ] étant donnée la nature des sociétés au sein desquelles nous sommes contraints d’agir.

Le Satanisme, au moins jusqu’à l’avènement du « Nouvel éon », ne pourra jamais devenir respectable : le devenir reviendrait à détruire son numen, son effectivité comme voie d’accession à l’Adeptat authentique. Il est sombre, maléfique – pour ceux qui osent véritablement. Cette audace, ainsi que cela a déjà été mentionné dans d’autres manuscrits, est pratique, elle s’exprime dans des situations de la vie réelle, implique du danger, requiert du courage et nécessite d’affronter ses propres limites, de même que celles des autres et donc de la société. Alors que la société et ses structures cherchent à borner voire à nier la promesse de Satan, cette provocation ténébreuse est indispensable, d’autant plus qu’elle est une méthode efficace, qui produit des résultats individuels comme éoniques. Ce qui changera, c’est le nombre d’individus pouvant essayer cette voie de libération, bien que cela ne se produira que lentement, sur plusieurs décennies. Il s’agira d’un processus cumulatif qui conduira à l’Eon suivant – le créera en fait –, l’Eon satanique au cours duquel ce qui est actuellement considéré comme sombre et sinistre aura librement cours.

Il a donc été nécessaire de disséminer les enseignements et traditions de l’Ordre, et cette diffusion continuera et s’amplifiera au titre de la Stratégie sinistre. Ce volet de la Stratégie sinistre a été initié il y a une décennie par le Grand Maître représentant les groupes traditionnels. Il a été soigneusement planifié et (jusqu’ici) exécuté.

L’étape initiale consistait à faire circuler quelques éléments relatifs au Satanisme traditionnel (le Système septénaire, le mythos des dieux sombres) dans certains secteurs de la fraternité occulte. Quelques articles furent alors publiés et l’existence de l’Ordre révélée, pour la première fois, en dehors des cercles traditionalistes, confirmant ainsi certaines rumeurs qui couraient depuis un moment. Durant plusieurs années, de nouvelles informations furent rendues disponibles, au sein toutefois seulement de la « sous-culture » occulte souterraine. Un certain intérêt en résulta (ainsi qu’une poignée de nouveaux Initiés, même si ce n’était pas l’intention première) qui fut suivi par la publication, dans un premier temps, d’une lettre d’information, puis d’un « zine », tous deux conservant leur caractère semi-clandestin, tant du point de vue de leur qualité que de leur mode de distribution (à travers des annonces publiées dans des publications parallèles du même genre soigneusement sélectionnées). Le nombre d’exemplaires diffusés était en outre réduit. Le but poursuivi était double : créer chez le lecteur un sentiment d’exclusivité (en rendant l’Ordre difficile à localiser/trouver) et ne représenter aucune menace apparente (le zine et ceux qui lui étaient associés devaient être perçus comme totalement marginaux et ne disposant ni de ressources ni, probablement, de soutien). De cette façon, les activités, toujours secrètes, de ses membres ne devaient pas être vues comme menaçantes et ne feraient l’objet d’aucune enquête de quelle que sorte que ce soit. C’est ainsi que les deux buts mentionnés plus haut devaient être atteints – par la diffusion de la tradition et la préservation du secret nécessaire à la poursuite de l’œuvre souhaitée.

Après quelques années encore, on passa à l’étape suivante : la distribution, toujours à une échelle réduite, de documents détaillant la tradition complète. Leur format serait identique de façon à donner l’impression d’une entreprise de portée limitée. Apparurent alors pour la première fois Le livre noir de Satan, Naos, Le quartet de Deofel [1] et d’autres travaux. En outre, la rareté de ces documents devait créer autour d’eux une « aura », une aura qui suggérait les ténèbres de la tradition. Cet aspect fut renforcé en portant à la connaissance du public les aspects les plus sinistres de la tradition – ces aspects qui contredisaient également les circonvolutions verbales des « Satanistes » de salon et de leurs jacasseries sur l’incompréhension du Satanisme et le fait que ce dernier n’était pas réellement maléfique, et dont la visibilité augmentait à mesure que la fin de la décennie approchait.

Cela provoqua naturellement une réaction, des milieux occultes et de l’extérieur. La réaction des personnes impliquées dans l’Occulte (et tout particulièrement de celles se réclamant de la Voie de la main gauche) fut de prendre position et donc d’exposer leur manque total de compréhension et de perspective réelles. En résumé, elles continuèrent leurs jeux de mots et de rôles fantaisistes à chaque confrontation avec la réalité du Satanisme authentique. Néanmoins, de façon également importante, certaines d’entre elles assimilèrent la tradition, ou des parties de cette dernière (peut-être de manière inconsciente, peut-être consciemment, en la plagiant) et ainsi ne se limitèrent pas à en subir l’influence mais contribuèrent également aux « énergies sinistres » qu’elle représentait. [D’où l’on peut déduire l’une des significations de l’expression « dialectique sinistre.]

L’étape ultérieure devait donner une forme et une substance à certains aspects des énergies sinistres que l’Ordre et ses traditions représentaient – les images (par exemple celles du Tarot) et la musique sataniques en faisaient partie. Ces dernières, par le simple fait de leur création, devaient manifester ces énergies (en raison de leur influence imperceptible, tout particulièrement sur ceux qui sont « réceptifs »). Elles seraient distribuées de la même façon qui avait prévalue jusque-là, diffusant leur influence sinistre (identiquement aux publications précédentes) par contagion psychique.

A la suite de cela, il y aurait une augmentation graduelle de la qualité et de la quantité distribuée de ces objets, sans toutefois que les ténèbres authentiques des formes et des traditions n’en soient diluées pour autant. Cumulativement, une approche plus subtile serait employée : contaminer graduellement les énergies psychiques avec des suggestions sinistres et ainsi influencer/persuader ouvertement/de façon dissimulée les autres, dans le milieu occultiste et en-dehors, et les attirer dans le cercle toujours en expansion de ceux qui ont été touchés par les puissances des ténèbres. [Il s’agit toujours de la situation actuelle du jeu]

Le secret est donc préservé comme et quand cela est nécessaire, cependant que la tradition et, en conséquence, le sinistre sont efficacement répandus.

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Appendice – liste de manuscrits de l’Ordre en rapport avec le sujet

  • Naos – Un guide pratique pour devenir un Adepte [2]. 121 pages.
  • Le livre noir de Satan (ou Codex Særus) – Un guide pour le cérémonial sinistre [3]. 56 pages.
  • Hostia – Les enseignements secrets de l’ONA [4]. Volume I. 130 pages.
  • Hostia, volume II. 56 pages.
  • Le quartet de Deofel, volume I [Falcifer – seigneur des ténèbres [5], Le temple de Satan [6]]. 211 pages.
  • Le quartet de de Deofel, volume II [Le don [7], La chouette grise [8]]. 221 pages.

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NOTES :

[1] The Deofel Quartet.

[2] Naos – A Practical Guide to Becoming An Adept.

[3] The Black Book of Satan – A Guide to Sinister Ceremonial.

[4] Hostia – Secret Teachings of the ONA.

[5] Falcifer, Lord of Darkness.

[6] The Temple of Satan.

[7] The Giving.

[8] The Greyling Owl.

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